Procès conceptuel

L’être humain est la raison de ma céramique, il me plait, je l’observe toujours, je le trouve innocent même dans sa mechanceté, et comme je ne peux pas expliquer exactement tous ses reactions, je les minimisse et les transforme en “objects céramics” qui arretent le temps, mon temps. Un coup faites, et si elles passent toujours le filtre critique et je ne les détruie pas, elles m’accompagnent ou bien devienent un object desiré par d’autres. De cette façon elles me permetent faire plus de pièces, amelliorer ma tecnique, apprendre quelque chose et être plus hereuse.